Deux femmes ont péri dans
la nuit de mercredi à jeudi, suite à l’inhalation du monoxyde de carbone
qui se dégageait d’un chauffe-eau.
Les deux victimes résidantes au 3e étage d'un bâtiment des 220 logements de la cité Rym ont été découvertes inanimées lors de l’arrivée des éléments de la Protection civile de l’unité secondaire de Sidi Achour renforcés par ceux de l’unité principale de la wilaya. Le médecin de ce corps de secours n’a pu que constater le décès des deux femmes âgées de 47 et 49 ans. Il s’agit des premières victimes de ce tueur silencieux à Annaba depuis le début de l’année. Mais le nombre de ceux qui ont pu en réchapper à temps grâce à l’intervention rapide des soldats du feu est beaucoup plus important. Les deux corps ont été transférés à la morgue de l’hôpital Ibn Rochd et une enquête a été ouverte par les services concernés pour déterminer les circonstances exactes de ce drame ayant endeuillé les parents et proches ainsi que les habitants de la cité Rym. Le nombre de morts par ce gaz en Algérie ne fait qu’augmenter malgré les consignes de protection et autres campagnes de sensibilisation entreprises par les services de la Sonelgaz, ceux de la Protection civile et des associations de la société civile. Plus d’une vingtaine de personnes ont déjà péri par inhalation du monoxyde de carbone depuis le début de l’année, soit plus d’une personne par jour. C’est énorme !
A. Bouacha
Les deux victimes résidantes au 3e étage d'un bâtiment des 220 logements de la cité Rym ont été découvertes inanimées lors de l’arrivée des éléments de la Protection civile de l’unité secondaire de Sidi Achour renforcés par ceux de l’unité principale de la wilaya. Le médecin de ce corps de secours n’a pu que constater le décès des deux femmes âgées de 47 et 49 ans. Il s’agit des premières victimes de ce tueur silencieux à Annaba depuis le début de l’année. Mais le nombre de ceux qui ont pu en réchapper à temps grâce à l’intervention rapide des soldats du feu est beaucoup plus important. Les deux corps ont été transférés à la morgue de l’hôpital Ibn Rochd et une enquête a été ouverte par les services concernés pour déterminer les circonstances exactes de ce drame ayant endeuillé les parents et proches ainsi que les habitants de la cité Rym. Le nombre de morts par ce gaz en Algérie ne fait qu’augmenter malgré les consignes de protection et autres campagnes de sensibilisation entreprises par les services de la Sonelgaz, ceux de la Protection civile et des associations de la société civile. Plus d’une vingtaine de personnes ont déjà péri par inhalation du monoxyde de carbone depuis le début de l’année, soit plus d’une personne par jour. C’est énorme !
A. Bouacha
