Un ancien local de
quelques mètres carrés, datant de l’ère coloniale, abrite l’agence Badr
de Aïn-Séfra ; même si l’établissement financier a été réaménagé et
restauré à plusieurs reprises et équipé d’un matériel de haute
technologie, il demeure, néanmoins, incommode pour la clientèle, par
l’entassement des archives dans une petite partie réservée à l’accueil
d'un public dans la gêne et l'embarras et pour le personnel
administratif qui exerce dans des espaces très limités, dans des
conditions difficiles.
En effet, depuis 2011/2012, il a été projeté la réalisation d’une nouvelle agence bancaire de l’agriculture (Badr) modernisée à Aïn-Séfra.
or, victime d’une lenteur bureaucratique, le projet est tombé à l’eau et n’a toujours pas vu le jour, et selon certains, il a été abandonné complètement, faute des difficultés administratives qui seraient liées à l’aval du choix de l’assiette de terrain par les services concernés et par les services Badr chargés du suivi qui ont, selon encore un ancien directeur de cette agence, l’enveloppe financière a été dégagée par les services de la banque, mais en vain.
Notons, par ailleurs, que seulement deux agences bancaires sont en activité dans la capitale des monts des Ksour, la Badr et la BNA, alors que pour le CPA, la BDL et la Cnep, ces projets devaient voir le jour dès les années 80. Hélas, la ville n’a pas été au diapason des évolutions souhaitées par la population.
B. Henine
En effet, depuis 2011/2012, il a été projeté la réalisation d’une nouvelle agence bancaire de l’agriculture (Badr) modernisée à Aïn-Séfra.
or, victime d’une lenteur bureaucratique, le projet est tombé à l’eau et n’a toujours pas vu le jour, et selon certains, il a été abandonné complètement, faute des difficultés administratives qui seraient liées à l’aval du choix de l’assiette de terrain par les services concernés et par les services Badr chargés du suivi qui ont, selon encore un ancien directeur de cette agence, l’enveloppe financière a été dégagée par les services de la banque, mais en vain.
Notons, par ailleurs, que seulement deux agences bancaires sont en activité dans la capitale des monts des Ksour, la Badr et la BNA, alors que pour le CPA, la BDL et la Cnep, ces projets devaient voir le jour dès les années 80. Hélas, la ville n’a pas été au diapason des évolutions souhaitées par la population.
B. Henine