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IL SE RÉUNIRA AUJOURD’HUI De nouvelles commissions pour le panel

Photo : Samir Sid
Photo : Samir Sid
Le panel en charge de la médiation et du dialogue a décidé de créer en son sein de nouvelles commissions indépendantes les unes des autres, et ce, pour faciliter la communication avec ceux désirant prendre part au dialogue national auquel a appelé le chef de l’Etat par intérim.
M. Kebci - Alger (Le Soir) - Selon une source proche de ladite instance, cette démarche participe du souci de gagner du temps dans le contact avec les nombreux tout prochains interlocuteurs dont les chefs de parti et les acteurs de la société civile. Une manière d’accélérer la cadence et aller ainsi au plus vite à l’objectif assigné au panel, soit une élection présidentielle le plus tôt possible et ainsi sortir de la crise.
Parmi ces nouvelles commissions mises sur pied, celle en charge de la société civile. Composée de dizaines de membres dont des professeurs et des docteurs dans divers domaines, elle se chargera des organisations de masse et les syndicats désireux de faire part de leurs initiatives de sortie de crise. Il y a également la commission dédiée à notre diaspora dont la mission consiste à établir des contacts avec des compétences de notre communauté nationale établie à l’étranger pour élargir le spectre de la concertation, et la commission communication qui aura comme feuille de route le contact avec tout ce beau monde.
Le panel qui installera, ce samedi matin, la commission de concertation composée d’une quarantaine de membres, a élargi son spectre des «exclus» des contacts. Ainsi, après le quatuor FLN, RND, TAJ et MPA de la défunte alliance présidentielle, c’est au tour de la présidente du Parti de la justice et la proclamation et ses homologues de l’ANR (Alliance nationale républicaine) et El Karama de payer les frais de leur proximité d’avec le cercle du président de la République déchu. Ainsi, Naïma Salhi, Belkacem Sahli et Mohamed Benhamou rejoignent le camp des indésirables d’un dialogue que son instigateur, le chef de l’Etat intérimaire, veut toujours inclusif. Mais c’était compter sans l’intransigeance de ceux parmi les acteurs de la société civile, de la classe politique et autres personnalités nationales qui ont accepté de rejoindre la démarche dudit dialogue, qui exigent la non-association de tous les partis qui avaient accompagné le Président déchu durant son règne long de vingt ans. Des partis dont la rue va jusqu’à réclamer la dissolution dans une optique de rupture totale avec le système en place.
Sauf que même s’ils ne participent pas en tant que tels au dialogue en vue, ces partis seront, néanmoins, indirectement présents dans le processus de médiation et de concertation déjà engagé par le panel que coordonne Karim Younès.
Ceci à travers le profil de nombre des membres de ladite instance, militants, anciens militants ou réputés proches de ces partis, notamment le FLN et le RND, ou via ces organisations de masse réputées avoir de tout temps appuyé toute démarche du système en place, indépendamment des personnes et des circonstances.
M. K.
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