Pour ce treizième vendredi consécutif et le deuxième
de ce mois de ramadhan, les manifestants blidéens ont encore marché hier
pour exiger encore une fois le changement du système et demander des
comptes à ce qui reste des symboles du système de Bouteflika.
L’autre message fort était celui de l’application des articles 7 et 8 de la constitution pour lesquels ils disent qu’ils ne les ont pas oubliés car, criaient-ils, «Pas d’élections sous l’encadrement d’un gouvernement illégitime». Tout comme il était écrit sur certaines pancartes : «Son excellence le peuple demande pour la millième fois que les articles 7 et 8 de la constitution soient formellement mis en application».
Par ailleurs, les slogans d’avant ramadhan sont revenus à la charge notamment celui relatif au départ des restes des B, faisant allusion à Bedoui et Bensalah.
Sur d’autres écriteaux, il y avait écrit : «Nos revendications sont le départ des criminels et non l’importation de la ferraille de l’Europe».
Il importe de signaler qu’au premier rang de la marche d’hier, Benyoucef Mellouk a été mis au-devant de la scène, celui qui a dénoncé les magistrats faussaires. Dans sa marche, il brandissait des coupures de presse relatant son combat de dénonciation.
Enfin, tout en chantant une chanson quelque peu caustique à l’égard d’Ahmed Ouyahia, à savoir que pour lui «il n’y aura pas d’Europe mais plutôt la soupe», ils ont crié haut et fort que le pouvoir auquel ils aspirent doit être purement civil.
M. B.
L’autre message fort était celui de l’application des articles 7 et 8 de la constitution pour lesquels ils disent qu’ils ne les ont pas oubliés car, criaient-ils, «Pas d’élections sous l’encadrement d’un gouvernement illégitime». Tout comme il était écrit sur certaines pancartes : «Son excellence le peuple demande pour la millième fois que les articles 7 et 8 de la constitution soient formellement mis en application».
Par ailleurs, les slogans d’avant ramadhan sont revenus à la charge notamment celui relatif au départ des restes des B, faisant allusion à Bedoui et Bensalah.
Sur d’autres écriteaux, il y avait écrit : «Nos revendications sont le départ des criminels et non l’importation de la ferraille de l’Europe».
Il importe de signaler qu’au premier rang de la marche d’hier, Benyoucef Mellouk a été mis au-devant de la scène, celui qui a dénoncé les magistrats faussaires. Dans sa marche, il brandissait des coupures de presse relatant son combat de dénonciation.
Enfin, tout en chantant une chanson quelque peu caustique à l’égard d’Ahmed Ouyahia, à savoir que pour lui «il n’y aura pas d’Europe mais plutôt la soupe», ils ont crié haut et fort que le pouvoir auquel ils aspirent doit être purement civil.
M. B.