L’objectif est clairement affiché : ne plus dépendre
totalement de l’importation dans le processus de production des
énergies. Le premier responsable du groupe Sonelgaz assure que le
savoir-faire local est sollicité à hauteur de 60% dans les différents
processus. Les entreprises locales sont appelées à y participer
davantage afin que le taux d’intégration soit encore plus important.
Nawal Imès - Alger (Le Soir) - La participation des entreprises locales dans les différentes étapes de production de l’énergie est passée de 0% à 60%, assure le président-directeur général du groupe Sonelgaz.
L’entreprise ne compte pas s’arrêter en si bon chemin puisque son premier responsable lance un appel au «génie» national afin de sortir d’une situation antérieure de quasi-dépendance.
D’ici 2023, assure Mohamed Arkab, en marge de l’inauguration du Salon de l’électricité et des énergies renouvelables, le taux de participation des capacités nationales sera encore plus important au regard des nombreux projets dans lesquels l’entreprise est engagée.
L’objectif, dit-il, est de non seulement réduire les coûts mais également de gagner en compétitivité. Un appel certainement entendu par les nombreuses entreprises du secteur présentes à la seconde édition du Salon de l’électricité et des énergies renouvelables.
En plus des entreprises nationales, des représentants de sept pays y prennent également part à l’instar de l’Allemagne, la France, l’Espagne, la Chine, la Tunisie, la Turquie et l’Arabie Saoudite. Elles interviennent dans les domaines des innovations dans la production d’énergie, la transmission, la distribution et stockage, l’éclairage, les énergies renouvelables, l’appareillage, les tests et les mesures, et enfin l’outillage et les matériels de sécurité pour l’électricité. Il s’agit essentiellement de fabricants d’équipements, de distributeurs, de bureaux d’études, de fournisseurs d’électricité et d’installateurs dans les domaines de l’électricité et des énergies renouvelables qui proposeront, au cours de ce salon, une large gamme de produits et de solutions non seulement en ce qui concerne l’électricité mais également le renouvelable.
Le salon durera jusqu’à mercredi avec au programme des conférences, des workshops et des animations de clubs scientifiques.
N. I.
Nawal Imès - Alger (Le Soir) - La participation des entreprises locales dans les différentes étapes de production de l’énergie est passée de 0% à 60%, assure le président-directeur général du groupe Sonelgaz.
L’entreprise ne compte pas s’arrêter en si bon chemin puisque son premier responsable lance un appel au «génie» national afin de sortir d’une situation antérieure de quasi-dépendance.
D’ici 2023, assure Mohamed Arkab, en marge de l’inauguration du Salon de l’électricité et des énergies renouvelables, le taux de participation des capacités nationales sera encore plus important au regard des nombreux projets dans lesquels l’entreprise est engagée.
L’objectif, dit-il, est de non seulement réduire les coûts mais également de gagner en compétitivité. Un appel certainement entendu par les nombreuses entreprises du secteur présentes à la seconde édition du Salon de l’électricité et des énergies renouvelables.
En plus des entreprises nationales, des représentants de sept pays y prennent également part à l’instar de l’Allemagne, la France, l’Espagne, la Chine, la Tunisie, la Turquie et l’Arabie Saoudite. Elles interviennent dans les domaines des innovations dans la production d’énergie, la transmission, la distribution et stockage, l’éclairage, les énergies renouvelables, l’appareillage, les tests et les mesures, et enfin l’outillage et les matériels de sécurité pour l’électricité. Il s’agit essentiellement de fabricants d’équipements, de distributeurs, de bureaux d’études, de fournisseurs d’électricité et d’installateurs dans les domaines de l’électricité et des énergies renouvelables qui proposeront, au cours de ce salon, une large gamme de produits et de solutions non seulement en ce qui concerne l’électricité mais également le renouvelable.
Le salon durera jusqu’à mercredi avec au programme des conférences, des workshops et des animations de clubs scientifiques.
N. I.
