La villégiature
au bord des eaux de rivières semble toute indiquée pour les habitants de
Blida aux fins de compenser celle des plages, interdites d'accès par
mesure de sécurité sanitaire. Ils en font, depuis l'assouplissement des
heures de confinement, leur destination privilégiée.
Cette escapade a tout l'air de bien plaire aux parents qui font bénéficier leurs enfants des bienfaits de la nature surtout que l'endroit, appelé Ruisseau des Singes ou Oued-Sidi-el-Madani, situé sur l'ancienne route de Médéa, offre un panorama idéal pour ce genre d'excursions.
Les villégiateurs n'ont pas tort en définitive d'autant que leur progéniture ne se lasse guère de son amusement avec les singes macaques qui prolifèrent dans la région. Habitués à la présence humaine, ces primates descendent de leur montagne pour profiter de la nourriture que leur donnent les enfants.
Cacahuètes, gaufrettes, bananes et autres biscuits sont les denrées préférées de ces magots qui s'en goinfrent à volonté et donnent un plaisir inouï aux bambins qui n'arrêtent pas de les gorger tant la demande est présente. Immortaliser ces moments de joie est loin d'être omis par les parents qui trouvent énormément de plaisir à filmer leurs mômes dans ces scènes de liesse.
Alors que beaucoup de visiteurs s'attardent sur ces rencontres hommes-singes, d'autres préfèrent se rafraîchir sur les eaux frisquettes de l'oued qui se remplit régulièrement par les nombreux ruisseaux qui descendent des montagnes.
La vue est imprenable. Sous les regards attentifs de leurs parents, les enfants se dépensent comme ils peuvent d'autant que les eaux ne sont pas profondes et ne peuvent dépasser la hanche. Il n'y a pas risque de noyade et les parents peuvent, en toute quiétude, déguster le café et autres sucreries ramenés de chez eux. Loin de se soucier outre mesure, ils contemplent pleinement l'agréable spectacle qui s'offre à leurs yeux. De loin d'ailleurs, on entend les cris de joie des enfants appuyés par les clapotements que suscitent leurs jeux de mains dans l'eau.
L'ambiance juvénile bat son plein dans un décor où le rupestre se mélange divinement à l'hydrique pour faire bon ménage. 16 heures sonnent comme une fringante alerte. C'est le moment de reprendre le chemin du retour.
Les enfants veulent y rester encore davantage mais la décision des parents est sans appel. Il faut qu'ils soient à la maison avant 17 heures car les mesures de confinement s'imposent.
Rendez-vous est pris pour un autre jour. Toutefois, les bambins quittent le lieu avec un goût d'inachevé et surtout un plaisir qui leur reste en travers de la gorge.
M. B.
Cette escapade a tout l'air de bien plaire aux parents qui font bénéficier leurs enfants des bienfaits de la nature surtout que l'endroit, appelé Ruisseau des Singes ou Oued-Sidi-el-Madani, situé sur l'ancienne route de Médéa, offre un panorama idéal pour ce genre d'excursions.
Les villégiateurs n'ont pas tort en définitive d'autant que leur progéniture ne se lasse guère de son amusement avec les singes macaques qui prolifèrent dans la région. Habitués à la présence humaine, ces primates descendent de leur montagne pour profiter de la nourriture que leur donnent les enfants.
Cacahuètes, gaufrettes, bananes et autres biscuits sont les denrées préférées de ces magots qui s'en goinfrent à volonté et donnent un plaisir inouï aux bambins qui n'arrêtent pas de les gorger tant la demande est présente. Immortaliser ces moments de joie est loin d'être omis par les parents qui trouvent énormément de plaisir à filmer leurs mômes dans ces scènes de liesse.
Alors que beaucoup de visiteurs s'attardent sur ces rencontres hommes-singes, d'autres préfèrent se rafraîchir sur les eaux frisquettes de l'oued qui se remplit régulièrement par les nombreux ruisseaux qui descendent des montagnes.
La vue est imprenable. Sous les regards attentifs de leurs parents, les enfants se dépensent comme ils peuvent d'autant que les eaux ne sont pas profondes et ne peuvent dépasser la hanche. Il n'y a pas risque de noyade et les parents peuvent, en toute quiétude, déguster le café et autres sucreries ramenés de chez eux. Loin de se soucier outre mesure, ils contemplent pleinement l'agréable spectacle qui s'offre à leurs yeux. De loin d'ailleurs, on entend les cris de joie des enfants appuyés par les clapotements que suscitent leurs jeux de mains dans l'eau.
L'ambiance juvénile bat son plein dans un décor où le rupestre se mélange divinement à l'hydrique pour faire bon ménage. 16 heures sonnent comme une fringante alerte. C'est le moment de reprendre le chemin du retour.
Les enfants veulent y rester encore davantage mais la décision des parents est sans appel. Il faut qu'ils soient à la maison avant 17 heures car les mesures de confinement s'imposent.
Rendez-vous est pris pour un autre jour. Toutefois, les bambins quittent le lieu avec un goût d'inachevé et surtout un plaisir qui leur reste en travers de la gorge.
M. B.
