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Rubrique Actualités

Les rejets des invitations de Bedoui se multiplient

L’intersyndicale de la santé décline l’invitation
L’intersyndicale de la santé, qui regroupe les syndicats des paramédicaux, des psychologues, des praticiens généralistes et spécialistes et des hospitalo-universitaires, a décliné l’invitation du Premier ministre pour prendre part aux consultations sur la constitution du nouveau gouvernement.
« Nous, syndicats autonomes de la santé, réunis ce jour en intersyndicale, avons été surpris par l’invitation du Premier ministre à assister à une réunion prévue pour le lundi 18 mars 2019. Nous déclinons à l’unanimité cette initiative, le cadre actuel ne correspond pas aux revendications du mouvement populaire soulevées depuis le 22 février 2019. L’intersyndicale demeure réunie en session ouverte pour suivre l’évolution de la situation », a déclaré l’intersyndicale dans un communiqué.

Les enseignants du supérieur refusent également de prendre part aux consultations
Le Conseil national des enseignants du supérieur (Cnes) a également refusé de prendre part aux consultations lancées par Bedoui. Les deux ailes du Cnes ont déclaré, chacune, avoir reçu une invitation. Et les deux parties ont déclaré avoir décliné l’invitation. « Nous portons à la connaissance de l’ensemble des enseignants et de nos adhérents que le Cnes a reçu une invitation pour prendre part, aujourd’hui, lundi, 18 mars, aux consultations lancées par le Premier ministre. Or, en raison du mouvement populaire pacifique historique et ses revendications légitimes à changer le système, un mouvement auquel nous avons adhéré depuis le 22 février dernier, le bureau national du Cnes a refusé de prendre part à ces consultations », a déclaré dans un communiqué Abdelmalek Azzi, coordonnateur du Cnes.

Les pharmaciens d’officine boycottent, eux aussi, Bedoui
Les pharmaciens d’officine se joignent également à la grande liste des organisations syndicales ayant refusé de prendre part aux consultations entamées par Noureddine Bedoui.
Le Syndicat algérien des pharmaciens d’officine (Snapo) a déclaré, hier, dans un communiqué, qu’il a refusé de répondre à l’invitation du Premier ministère à participer aux consultations.
Le Snapo «estime que les conditions actuelles ne sont pas propices à un vrai débat démocratique, apte à mener vers des solutions répondant aux revendications et aux attentes du peuple. Les changements réclamés par le mouvement citoyen sont légitimes et tous les moyens doivent être mis en œuvre pour leur concrétisation».
Le syndicat dit que la transition vers un nouveau système républicain doit se faire dans le respect des principes démocratiques et dan la concertation. «Les compétences et les organisations professionnelles doivent être consultées dans le cadre de ce changement.
Le Snapo s’engage dans le débat national qui sera lancé dès que les conditions seront jugées réunies pour le vrai changement », a déclaré le syndicat dans son communiqué.
S. A.
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