«Comment concilier l’efficacité de la lutte contre la corruption avec la double exigence dans un État de droit, d’une part de respect des libertés publiques, d’autre part de respect de la séparation des pouvoirs ? On dit souvent : à situation exceptionnelle, mesure exceptionnelle. La corruption requiert-elle l’instauration d’une situation d’exception ?»
Pierre-Antoine Lorenzi, premier secrétaire général du Service central français de prévention de la corruption