Le coach Djamel Belmadi n’est pas du genre à penser que l’herbe est toujours plus verte ailleurs ou, comme les Anglais, que l'herbe est toujours plus verte de l'autre côté de la colline.
Mais son «la pelouse, je préfère ne pas en parler», samedi lors de la conférence de presse après le match contre le Niger, au stade Mustapha-Tchaker de Blida, est plus éloquent que tout un discours.
Une pelouse cauchemardesque pour un dream team, c’est le stade suprême de l’incompétence, tout comme, selon Lénine, l’impérialisme est le stade suprême du capitalisme.
K. B.
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