Les images des marches des uns et des autres semblent montrer, par-ci, l’Algérie rurale, du Sud et du pays profond, et, par-là, l’Algérie urbaine, souvent mise en avant. Ici la jeunesse et, ailleurs, les personnes âgées, les adultes et parfois leurs enfants. D’un côté, une population portant chèche, et kachabia, de l’autre, des gens en casquette et jeans, vêtus à l’occidentale, question vêtements.
Les uns brandissent des pancartes et des banderoles en langue arabe, tandis que les autres, femmes et hommes, portent des écriteaux en français, en arabe, et même en anglais parfois.
L’Algérie est la maison commune des uns et des autres, à condition de la préserver, et nous avons tendance à l’oublier souvent.
K. B.
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