À l'occasion de la sortie de son livre Le capitalisme expliqué à ma petite-fille, Jean Ziegler, ex-rapporteur de l’ONU sur le droit à l’alimentation, avait donné son point de vue sur la nécessite d’une abolition du capitalisme, un système qui, selon lui, «ne peut pas être réformé ou humanisé».
Celui qui a dit «un enfant qui meurt de faim est un enfant qu'on assassine» n’y est pas allé par quatre chemins : «Comme l’esclavage, le féodalisme, le colonialisme ou l’exploitation de la femme, le capitalisme doit être détruit.»
Son vœu le plus cher : «j’espère bien avant ma mort voir la fin du capitalisme.»
K. B.
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