Ce drame a eu lieu dans la nuit de vendredi à samedi,
à 21h45, dans le douar des Djouahra, à quelque 13 km à l’ouest d’El-Maien,
le chef-lieu de la commune, dans la daïra de Rouina, à l’ouest de Aïn-Defla.
Le douar est situé dans une zone montagneuse et en ce début de printemps, il y fait encore froid. La famille occupait une habitation précaire construite en pisé (toub) et couverte de chaumes (diss), aussi la mère était entourée de ses enfants et tout le monde s’est regroupé autour d’un réchaud de fortune fonctionnant au gaz butane, pour se réchauffer.
Sans prévenir, il y eut un départ de feu qui a pris immédiatement à tout ce qui était inflammable dans la pièce où la famille était réunie autour de la mère, Meziane Aïcha, une veuve de 82 ans. Pris de panique face à l’ampleur des flammes, les enfants, mus par l’instinct de conservation, sortirent de l’habitation. Malheureusement, la vieille femme s’est retrouvée prise dans les flammes. La peur de la déflagration de la bonbonne de gaz aidant, il n’a pas été possible aux enfants de porter secours à la maman.
Le temps d’éteindre l’incendie, la mère périt en proie aux flammes, c’est ce que nous avons appris de sources locales. Quand on sait que l’unité de la Protection civile se trouve à Rouina, à quelque 30 km de route de montagne, du douar d’El-Djouahra, il a fallu près d’une demi-heure pour que les secouristes interviennent, le feu avait fait son œuvre et détruit la maigre habitation et on peut s’imaginer l’ampleur du drame de cette famille et des habitants du douar tout entier, quand le sinistre de la pauvreté s’allie au sinistre de l’incendie.
Un jeune de 17 ans sauvagement assassiné
Le corps sans vie d’un jeune de 17 ans, A. R., demeurant à Aïn-Defla, a été découvert vendredi en début d’après-midi, vers 13h 45, par des passants près de la voie ferrée, gisant dans une mare de sang et portant de multiples traces de coups assénés à l’arme blanche. Après le constat d’usage effectué par les différents services de la Sûreté de wilaya, les éléments de la Protection civile ont évacué la dépouille mortelle vers l’hôpital Makour-Hamou du chef-lieu de la wilaya, où elle a été déposée à la morgue. Une enquête a été diligentée pour élucider ce crime, retrouver son ou ses auteurs et les mobiles qui l’ont déterminé. Ce crime vient s’ajouter à celui qui a eu lieu mercredi matin à l’aube, en plein centre du chef-lieu de la commune d’Arib, où un septuagénaire a trouvé la mort tué de plusieurs décharges de fusil, alors qu’il allait accomplir la prière matinale.
Karim O.
Le douar est situé dans une zone montagneuse et en ce début de printemps, il y fait encore froid. La famille occupait une habitation précaire construite en pisé (toub) et couverte de chaumes (diss), aussi la mère était entourée de ses enfants et tout le monde s’est regroupé autour d’un réchaud de fortune fonctionnant au gaz butane, pour se réchauffer.
Sans prévenir, il y eut un départ de feu qui a pris immédiatement à tout ce qui était inflammable dans la pièce où la famille était réunie autour de la mère, Meziane Aïcha, une veuve de 82 ans. Pris de panique face à l’ampleur des flammes, les enfants, mus par l’instinct de conservation, sortirent de l’habitation. Malheureusement, la vieille femme s’est retrouvée prise dans les flammes. La peur de la déflagration de la bonbonne de gaz aidant, il n’a pas été possible aux enfants de porter secours à la maman.
Le temps d’éteindre l’incendie, la mère périt en proie aux flammes, c’est ce que nous avons appris de sources locales. Quand on sait que l’unité de la Protection civile se trouve à Rouina, à quelque 30 km de route de montagne, du douar d’El-Djouahra, il a fallu près d’une demi-heure pour que les secouristes interviennent, le feu avait fait son œuvre et détruit la maigre habitation et on peut s’imaginer l’ampleur du drame de cette famille et des habitants du douar tout entier, quand le sinistre de la pauvreté s’allie au sinistre de l’incendie.
Un jeune de 17 ans sauvagement assassiné
Le corps sans vie d’un jeune de 17 ans, A. R., demeurant à Aïn-Defla, a été découvert vendredi en début d’après-midi, vers 13h 45, par des passants près de la voie ferrée, gisant dans une mare de sang et portant de multiples traces de coups assénés à l’arme blanche. Après le constat d’usage effectué par les différents services de la Sûreté de wilaya, les éléments de la Protection civile ont évacué la dépouille mortelle vers l’hôpital Makour-Hamou du chef-lieu de la wilaya, où elle a été déposée à la morgue. Une enquête a été diligentée pour élucider ce crime, retrouver son ou ses auteurs et les mobiles qui l’ont déterminé. Ce crime vient s’ajouter à celui qui a eu lieu mercredi matin à l’aube, en plein centre du chef-lieu de la commune d’Arib, où un septuagénaire a trouvé la mort tué de plusieurs décharges de fusil, alors qu’il allait accomplir la prière matinale.
Karim O.
