«Si votre chien est surpris en train d’errer sur la voie publique, ou
un champ de blé ou de maïs, il sera conduit à la fourrière et abattu
après 48 heures s’il n’est pas tatoué ou s’il n’a pas de collier
permettant de retrouver son maître.»
«Un délai de grâce de huit jours lui est accordé lorsque ce dernier est identifié et une amende pour le propriétaire de l’animal.»
Ces recommandations ne sont pas les nôtres. Elles concernent, bien sûr, ceux qui ne font aucune différence entre les êtres (être humain ou être vivant) ; ceux qui font de leurs chiots, leurs propres fils, leurs héritiers, enfin des chiens bien dressés qui obéissent à leurs maîtres.
Les services de la prévention relevant des services de la santé de la wilaya de Naâma ont enregistré 85 cas de morsures de chiens cette année. Toutes les victimes ont été prises en charge pour une période de 40 jours, avec des prescriptions médicales, à raison d’une injection antirabique quotidienne durant la longue hospitalisation, et ce, jusqu’au rétablissement, a-t-on appris.
En effet, à travers la quasi-totalité des communes, malgré les campagnes d’abattage lancées régulièrement, des meutes de chiens continuent à investir les rues en instaurant «le couvre-feu» dès la tombée de la nuit, menaçant et agressant les usagers de nuit, surtout les passagers-voyageurs et les lève-tôt, notamment les fidèles des mosquées, les ouvriers, les écoliers, et autres.
B. Henine
«Un délai de grâce de huit jours lui est accordé lorsque ce dernier est identifié et une amende pour le propriétaire de l’animal.»
Ces recommandations ne sont pas les nôtres. Elles concernent, bien sûr, ceux qui ne font aucune différence entre les êtres (être humain ou être vivant) ; ceux qui font de leurs chiots, leurs propres fils, leurs héritiers, enfin des chiens bien dressés qui obéissent à leurs maîtres.
Les services de la prévention relevant des services de la santé de la wilaya de Naâma ont enregistré 85 cas de morsures de chiens cette année. Toutes les victimes ont été prises en charge pour une période de 40 jours, avec des prescriptions médicales, à raison d’une injection antirabique quotidienne durant la longue hospitalisation, et ce, jusqu’au rétablissement, a-t-on appris.
En effet, à travers la quasi-totalité des communes, malgré les campagnes d’abattage lancées régulièrement, des meutes de chiens continuent à investir les rues en instaurant «le couvre-feu» dès la tombée de la nuit, menaçant et agressant les usagers de nuit, surtout les passagers-voyageurs et les lève-tôt, notamment les fidèles des mosquées, les ouvriers, les écoliers, et autres.
B. Henine
