La cité de Sid-el-Hadj, comme partout ailleurs, s’est transformée en une
véritable décharge sauvage. Des ordures jonchent le sol et les abords
des maisons qui font désormais partie du décor.
En réalité, l’insalubrité touche tous les quartiers, et, faut-il le signaler, le citoyen en est le premier responsable. «Que peuvent faire dans ces conditions les éboueurs qui pointent du doigt le citoyen qui ne veut pas s’impliquer.
Certaines personnes inconscientes ne se sentent pas concernées par la propreté de leur environnement et n’hésitent pas à jeter leurs ordures n’importe où, alors que les bennes prévues à cet effet sont à portée de main», nous disent-ils. Nul n’ignore que ces ordures entraînent la prolifération de moustiques, de rats et de cafards et véhiculent des maladies graves.
Dépassés, les éboueurs n’hésitent pas à les brûler sur place et ne se soucient guère des nuisances induites par ces fumées âcres qui incommodent les résidents, notamment les enfants en bas âge et les personnes atteintes de maladies respiratoires.
A. Rahmane
En réalité, l’insalubrité touche tous les quartiers, et, faut-il le signaler, le citoyen en est le premier responsable. «Que peuvent faire dans ces conditions les éboueurs qui pointent du doigt le citoyen qui ne veut pas s’impliquer.
Certaines personnes inconscientes ne se sentent pas concernées par la propreté de leur environnement et n’hésitent pas à jeter leurs ordures n’importe où, alors que les bennes prévues à cet effet sont à portée de main», nous disent-ils. Nul n’ignore que ces ordures entraînent la prolifération de moustiques, de rats et de cafards et véhiculent des maladies graves.
Dépassés, les éboueurs n’hésitent pas à les brûler sur place et ne se soucient guère des nuisances induites par ces fumées âcres qui incommodent les résidents, notamment les enfants en bas âge et les personnes atteintes de maladies respiratoires.
A. Rahmane