Le ministre des Moudjahidine,
Tayeb Zitouni, a affirmé hier lundi, que ses services ont recensé 3 000
disparus algériens durant la guerre de Libération nationale soulignant :
«Nous détenons des preuves palpables du chiffre avancé.»
Interrogé sur la question de la restitution des archives de la guerre se trouvant en France, et qui suscite toujours un débat sur l’histoire de cette phase cruciale de notre histoire, M. Tayeb Zitouni a ajouté « qu’il n’existe pas une volonté politique chez la partie française pour leur restitution.
Ces archives ont mis à nu les exactions du colonialisme français à l’encontre des Algériens durant cette période. S’agissant de la reconnaissance des moudjahidine, l’hôte de Jijel a révélé la réouverture des dossiers touchés par le gel.
L’opération est en cours au niveau de l’Organisation nationale des moudjahidine, tout en affichant la disponibilité de ses services à approuver les dossiers, validés par les enquêtes effectuées par l’instance de l’ONM.
Cependant, il a tenu à préciser que les autres dossiers demeurent toujours à l’arrêt.
Lors de sa virée jijelienne, il a baptisé l’unité de la Protection civile située dans la localité de Boubletane relevant de la commune de Ziama-Mansouriah, du nom de Bouzeroura-Lemnenouar.
B. M. C.
Interrogé sur la question de la restitution des archives de la guerre se trouvant en France, et qui suscite toujours un débat sur l’histoire de cette phase cruciale de notre histoire, M. Tayeb Zitouni a ajouté « qu’il n’existe pas une volonté politique chez la partie française pour leur restitution.
Ces archives ont mis à nu les exactions du colonialisme français à l’encontre des Algériens durant cette période. S’agissant de la reconnaissance des moudjahidine, l’hôte de Jijel a révélé la réouverture des dossiers touchés par le gel.
L’opération est en cours au niveau de l’Organisation nationale des moudjahidine, tout en affichant la disponibilité de ses services à approuver les dossiers, validés par les enquêtes effectuées par l’instance de l’ONM.
Cependant, il a tenu à préciser que les autres dossiers demeurent toujours à l’arrêt.
Lors de sa virée jijelienne, il a baptisé l’unité de la Protection civile située dans la localité de Boubletane relevant de la commune de Ziama-Mansouriah, du nom de Bouzeroura-Lemnenouar.
B. M. C.