Que de chemin parcouru par l'Association des amis
du Vieux Mila, depuis sa création en 2005.
Parti d'une initiative d’un petit groupe d'amoureux de l'Antique Milev, le projet est aujourd'hui bien avancé, alors que le Plan permanent de sauvegarde et de mise en valeur du secteur sauvegardé du Vieux Mila est approuvé, depuis 2017, par la Commission nationale des biens culturels.
Un acquis invraisemblable, il y a quelques années de cela, après celui du décret de création et délimitation du secteur sauvegardé (décret 09/404 du 29 novembre 2009), qui est d'une superficie globale de 38 ha et 165 ares dont 7,20 ha intra-muros, qui a classé le site patrimoine protégé en 2011.
On attend, donc, de l’association, que la publication du décret exécutif de mise en application du plan de sauvegarde et l’entrée en lice de l’Agence nationale des secteurs sauvegardés (ANSS), qui, par ses missions, pourra prendre le relais pour une gestion rigoureuse des lieux. Il semblerait, à cet effet , que l’ANSS a officiellement saisi les autorités locales pour la désignation d’un siège. Mais, pour l’association et son président, le lieu est déjà tout indiqué, il s’agit de l’actuel siège de l’Office de gestion des biens culturels (OGBC), dont la mission a pris fin avec l’approbation du plan permanent de sauvegarde et qui, plus est, se trouve en plein cœur du site antique !
L’Association des amis du Vieux Mila est, selon son président, « fortement engagée dans ses missions et ses objectifs, malgré tous les déboires et autres chemins semés d’embûches qu’elle a dû rencontrer durant ses 15 années d’existence. Il est question aujourd’hui d’accompagner tous les travaux de restauration et autres interventions qui s’y déroulent !
Mais, la plus grande satisfaction de tous est, sans conteste, cette réelle prise de conscience de la part des occupants du site et autres propriétaires qui ont décidé de jouer le jeu et, c’est tant mieux pour tous, car ce trésor à ciel ouvert que représente ‘’Milev’’ ne sera plus perçu, désormais, de la même
manière ! Aux uns et aux autres d’assumer et, en premier, le nouveau wali ».
Abdelmadjid M’haimoud
Parti d'une initiative d’un petit groupe d'amoureux de l'Antique Milev, le projet est aujourd'hui bien avancé, alors que le Plan permanent de sauvegarde et de mise en valeur du secteur sauvegardé du Vieux Mila est approuvé, depuis 2017, par la Commission nationale des biens culturels.
Un acquis invraisemblable, il y a quelques années de cela, après celui du décret de création et délimitation du secteur sauvegardé (décret 09/404 du 29 novembre 2009), qui est d'une superficie globale de 38 ha et 165 ares dont 7,20 ha intra-muros, qui a classé le site patrimoine protégé en 2011.
On attend, donc, de l’association, que la publication du décret exécutif de mise en application du plan de sauvegarde et l’entrée en lice de l’Agence nationale des secteurs sauvegardés (ANSS), qui, par ses missions, pourra prendre le relais pour une gestion rigoureuse des lieux. Il semblerait, à cet effet , que l’ANSS a officiellement saisi les autorités locales pour la désignation d’un siège. Mais, pour l’association et son président, le lieu est déjà tout indiqué, il s’agit de l’actuel siège de l’Office de gestion des biens culturels (OGBC), dont la mission a pris fin avec l’approbation du plan permanent de sauvegarde et qui, plus est, se trouve en plein cœur du site antique !
L’Association des amis du Vieux Mila est, selon son président, « fortement engagée dans ses missions et ses objectifs, malgré tous les déboires et autres chemins semés d’embûches qu’elle a dû rencontrer durant ses 15 années d’existence. Il est question aujourd’hui d’accompagner tous les travaux de restauration et autres interventions qui s’y déroulent !
Mais, la plus grande satisfaction de tous est, sans conteste, cette réelle prise de conscience de la part des occupants du site et autres propriétaires qui ont décidé de jouer le jeu et, c’est tant mieux pour tous, car ce trésor à ciel ouvert que représente ‘’Milev’’ ne sera plus perçu, désormais, de la même
manière ! Aux uns et aux autres d’assumer et, en premier, le nouveau wali ».
Abdelmadjid M’haimoud
