Placeholder

Rubrique Soit dit en passant

Celui des autres ? Pourquoi pas ?

Pourquoi parler de ce qui n’est pas élémentaire ? Question posée par un lecteur ! Un monsieur outré par le fait que «j’insiste trop» sur ce qui, selon lui, ne mérite pas d’être débattu. Sur ce qui ne menace en rien, bien au contraire, puisque nous évoluons en «terre d’islam», l’équilibre social dans lequel nous évoluons. Au cas où personne ne l’aurait deviné, ce à quoi fait allusion ce douktour émérite de la pensée new look, c’est à ces candidates sans visage et sans charisme auxquelles on devrait, malgré tout, rendre hommage. Ces fantômes ambulants dont on devrait louer l’acharnement qu’elles mettent à plomber l’avenir de leurs congénères. Mon messager aurait préféré que je fasse la promotion de discours et accoutrements empruntés à un raisonnement peu à peu admis comme le seul qui soit adapté à un contexte dit présent, quand il renvoie à un âge sublimé par une ignorance qui conforte l’intégrisme religieux. Une ère d’où sont puisés vieux repères et  prescriptions désuètes. De celles que l’on flatte à souhait avec le sombre calcul d’entretenir le statu quo en moralisant ce qui reste à catéchiser. 
Je voudrais répondre à ce lecteur, sans doute occasionnel, parce que, sinon, j’aurais retenu son penchant pour la prédication creuse, que je ne suis pas sensible aux conseils éclairés que l’on peaufine à la tête du client. Je n’aime pas les sommations et encore moins lorsqu’elles se drapent d’une idéologie que je ne partage pas. Je n’aime pas ceux qui, pour régner sans partage, accablent l’opposition féminine en lui tissant une réputation indigne qui insulte la morale ambiante. 
L’uniforme que certains établissements imposent dès le primaire aux petites filles vise à inhiber une réflexion tout juste ouverte au monde et dont on devine aisément comment elle va évoluer. 
Un uniforme qui va participer à la confirmation d’un formatage entrepris prématurément.  Celles qui ne se couvrent pas sont des  dévergondées dont on recommande, cependant, de tolérer la présence. Elles pourraient servir une société qui accumule les frustrations. Bien entendu, le corps des autres, on aime bien baver dessus, mais pas touche à celui de ses proches. 
M. B.

Placeholder

Multimédia

Plus

Les + populaires de la semaine

(*) Période 7 derniers jours

  1. Affaire USM Alger - RS Berkane La décision de la CAF tombe !

  2. Coupe du monde de gymnastique L'Algérienne Kaylia Nemour s'offre l'or à Doha

  3. Demi-finale aller de la Coupe de la CAF Le match USM Alger - RS Berkane compromis, Lekdjaâ principal instigateur

  4. Le stade Hocine-Aït-Ahmed de Tizi-Ouzou pourrait abriter le rendez-vous La finale se jouera le 4 mai

  5. Coupe de la CAF, le match USMA-RS Berkane ne s’est pas joué Les Usmistes n’ont pas cédé au chantage

  6. Temps d’arrêt Lekdjaâ, la provocation de trop !

Placeholder