Le quartier Sidi-el-kébir, du nom du fondateur de la ville de Blida,
Sidi-Ahmed el Kébir, aura bientôt sa polyclinique. C’est ainsi que cette
localité sortira de son isolement et ses habitants n’auront plus à
parcourir plus de quatre kilomètres pour se faire soigner.
Situé sur le flanc du versant ouest des monts de Chréa, ce quartier a toujours été considéré comme un laissé-pour-compte alors qu’il subsiste uniquement des recettes fiscales de l’usine d’eau minérale implantée dans cette localité, celui-ci pourrait avoir toutes les commodités nécessaires pour une vie décente de ses habitants. Le wali de Blida, Youcef Chorfa, a rendu visite tout dernièrement au quartier Sidi-el-Kébir pour s’enquérir de l’avancement des travaux de cette polyclinique et à l’occasion, il a pris en compte les doléances des habitants de Sidi-el-kébir, lesquelles doléances s’articulaient principalement autour du développement local et autres exigences inhérentes à l’amélioration de leurs conditions de vie.
Il y a lieu de rappeler que la localité Sidi-el-Kébir a payé un lourd tribut lors de la décennie noire où 36 personnes ont été tuées en une nuit. Aujourd’hui, elle fait l’objet d’exode rural et des gens viennent construire des bidonvilles sur la berge de l’oued qui porte son nom.
Cet état de fait donne une vue hideuse à la localité, contrastant avec le panoramique du lieu qui faisait la fierté des Blidéens jusqu’aux années 1980.
M. B.
Situé sur le flanc du versant ouest des monts de Chréa, ce quartier a toujours été considéré comme un laissé-pour-compte alors qu’il subsiste uniquement des recettes fiscales de l’usine d’eau minérale implantée dans cette localité, celui-ci pourrait avoir toutes les commodités nécessaires pour une vie décente de ses habitants. Le wali de Blida, Youcef Chorfa, a rendu visite tout dernièrement au quartier Sidi-el-Kébir pour s’enquérir de l’avancement des travaux de cette polyclinique et à l’occasion, il a pris en compte les doléances des habitants de Sidi-el-kébir, lesquelles doléances s’articulaient principalement autour du développement local et autres exigences inhérentes à l’amélioration de leurs conditions de vie.
Il y a lieu de rappeler que la localité Sidi-el-Kébir a payé un lourd tribut lors de la décennie noire où 36 personnes ont été tuées en une nuit. Aujourd’hui, elle fait l’objet d’exode rural et des gens viennent construire des bidonvilles sur la berge de l’oued qui porte son nom.
Cet état de fait donne une vue hideuse à la localité, contrastant avec le panoramique du lieu qui faisait la fierté des Blidéens jusqu’aux années 1980.
M. B.