Le président de l’Assemblée populaire communale (APC) de Larbaâtache
(daïra de Khemis El Khechna), à l’ouest de la wilaya de Boumerdès, B.
Saïd, élu sur la liste du RND, sera jugé en audience publique, le 23 mai
prochain, par le tribunal correctionnel de la ville de Boumerdès.
Le premier magistrat de Larbaâtache est, en effet, accusé de destruction de biens publics, d’agression contre policiers et de diffamation contre les agents de l’ordre.
Les faits se sont déroulés il y a un peu plus de 4 mois à l’intérieur du commissariat de la ville indiquée.
Selon le témoignage de 7 policiers, cités comme victimes dans cette affaire, fou furieux, le P/APC a fait une intrusion dans ce commissariat pour agresser les policiers.
Les motifs de cette colère se rapportent à des travaux sur la voie publique sans permis ni autorisation.
Des policiers ayant constaté que l’entreprise qui réalisait ces travaux en ville n’avait aucun document (permis ou autorisation), dès lors, ils ont sommé l’entrepreneur d’arrêter son chantier jusqu’à l’obtention d’un document légal délivré par l’autorité officielle concernée. Ce qui a soulevé la colère du maire de Larbaâtache.
Dans cette affaire, en vertu de l’article 43 du code communal, le P/APC aurait dû être suspendu par le wali de Boumerdès.
Voici ce que stipule cet article : «L’élu faisant l’objet de poursuites judiciaires pour crime ou délit en rapport avec les deniers publics ou pour atteinte à l’honneur ou ayant fait l’objet de mesures judiciaires ne lui permettant pas de poursuivre valablement l’exercice de son mandat électif, est suspendu par arrêté du wali, jusqu’à intervention de la décision définitive de la juridiction compétente.»
Abachi L.
Le premier magistrat de Larbaâtache est, en effet, accusé de destruction de biens publics, d’agression contre policiers et de diffamation contre les agents de l’ordre.
Les faits se sont déroulés il y a un peu plus de 4 mois à l’intérieur du commissariat de la ville indiquée.
Selon le témoignage de 7 policiers, cités comme victimes dans cette affaire, fou furieux, le P/APC a fait une intrusion dans ce commissariat pour agresser les policiers.
Les motifs de cette colère se rapportent à des travaux sur la voie publique sans permis ni autorisation.
Des policiers ayant constaté que l’entreprise qui réalisait ces travaux en ville n’avait aucun document (permis ou autorisation), dès lors, ils ont sommé l’entrepreneur d’arrêter son chantier jusqu’à l’obtention d’un document légal délivré par l’autorité officielle concernée. Ce qui a soulevé la colère du maire de Larbaâtache.
Dans cette affaire, en vertu de l’article 43 du code communal, le P/APC aurait dû être suspendu par le wali de Boumerdès.
Voici ce que stipule cet article : «L’élu faisant l’objet de poursuites judiciaires pour crime ou délit en rapport avec les deniers publics ou pour atteinte à l’honneur ou ayant fait l’objet de mesures judiciaires ne lui permettant pas de poursuivre valablement l’exercice de son mandat électif, est suspendu par arrêté du wali, jusqu’à intervention de la décision définitive de la juridiction compétente.»
Abachi L.